One day like another {. PV André

C'était un samedi comme tant d'autres. Le temps était très beau, les températures atteignaient à peu près 25°. Ce jour là, Canelle s'était levée assez tôt, comparé a d'habitude! Il devait être 8h30 ce matin là, elle se réveilla a cause du soleil, elle n'avait pas très bien fermé les rideaux la veille. Canelle se réveilla et elle alla se préparer dans la salle de bain. Après avoir pris sa douche, elle alluma la petite télévision dans la salle de bain et mis la musique pour se préparer. Ses cheveux étaient tout mouillé et dégoulinait. Elle les sécha au sec cheveux et elle les lissa avec son fer a lisser. Elle s'habilla peu de temps après. Elle était vêtue d'une jupe en jean avec un t shirt rose clair. Elle mis ses tongues ce jour là, trop fatiguée pour marcher en talon. Elle n'avait pas fait la fête la veille mais elle était fatiguée à cause des cours et du travail! La jeune femme sorti de la salle de bain après avoir éteint la télévision et la lumière. Elle pris son sac Guess et elle sorti de chez elle. La jeune fille se pris un café à emporter et elle avança en direction de la rue principale! La rue principale était une rue très grande et bondée de beaux magasins de luxe, le genre de magasins que Canelle adorait. Elle commença à faire ses emplettes et ressorti du dernier magasin qu'elle avait fait avec un sac bourré de fringue et d'accessoires. Elle s'assied sur un banc et alluma son MP3, la musique dans les oreilles elle n'entendait pas ce qu'il se passait autour d'elle. Soudain, elle senti son téléphone vibrer (dans son sac oui, et alors? XD), elle arrêta la musique et répondit. Elle se leva du banc et continua a marcher dans la rue, ses bras étaient tout deux occupés et elle avait donc trouvé un combine pour pouvoir parler au téléphone. C'était sa cousine, elle prenait des nouvelles d'elle de temps en temps, et ce matin c'était le cas. Elle resta au téléphone avec sa cousine un bon moment avant de repasser à son appartement rapporter tout ses sacs, après les avoir mis dans sa chambre, la jeune femme décida de retourner faire un tour dehors, juste au cas ou... N'aimant que les magasins de luxe, elle retourna sur la rue principale. Elle regardait le sol en étant au téléphone, aussi bien que Canelle se ramassa une porte en pleine face, une porte qu'on venait d'ouvrir lorsqu'elle passait par la. Canelle se releva et dit à sa cousine qu'elle la résonnerait. Quelle maladroite cette fille! Elle s'assied sur un banc pas trop loin de l'endroit, complètement sonnée...

Le samedi, le temps ralentit, avant de s'arrêter tout à fait le dimanche.
Geneviève Brisac

Samedi matin. Huit heure et demie. André commençait le travail à neuf heure. Il avait donc une demi-heure pour rentrer, se doucher, et pour se rendre à la superette. Heureusement, il ne mettait que cinq minutes à rentrer, et autant pour faire sa toilette. Et pour aller sur son lieu de travail ? Il lui suffisait de descendre de son immeuble, puisque la superette se trouvait dans le même quartier. André était légèrement habillé. Aux pieds, il avait des chaussettes blanches, avec une paire de chaussures de course. Ensuite, un Short noir, avec un T-Shirt blanc. Une petite précision : tout son habillement de sport était de la prestigieuse marque Adidas. Etant un athlète de haut niveau, André se devait d'avoir le "matériel" approprié. Mais là, le footballeur se sentait un peu "étrangé". Il était dans les Rius i Taulet, les rues les plus huppées de Barcelone. C'était la zone d'affaires, et des boutiques de luxe. Tout le monde ici, ou presque, portait des costumes, chemises, belles robes. Et lui, là, au milieu, en train de courir un habits de sport. Mais heureusement, il n'était pas seul. Il était en compagnie de Whisky, son chien, recueillit le jour précédent. Même si le chiot était jeune et petit, il accompagnait sans trop de mal son maître, si bien sur, ce dernier faisait des pauses régulières. De toute façon, ce jogging n'était pas vraiment un entraînement, mais juste un moyen pour garder la forme. L'animal avait déjà bien meilleure mine que le jour où il avait été récupéré : ses poils avaient été lavés et brossés, et il avait été nourrit et abreuvé correctement. A présent, il semblait en pleine forme.

- Bon, on s'repose encore deux minutes et après on va à la maison.

A ce moment là, André aperçu un banc. Tiens, ils allaient s'asseoir là-bas, afin de faire un ultime arrêt avant de rentrer se doucher. Le chiot sembla comprendre, et il se mit à courir avec plus d'énergie à côté du jeune homme. Lorsqu'ils arrivèrent au banc, André vit qu'une femme, assez jeune, y était déjà assisse. Elle portait un S-Shirt rose assez clair, ainsi qu'une jupe en Jeans. Aux pieds, elle avait des Tongues. Elle ne semblait pas dans son assiette, ça, c'était sûr. Mais ne voulant pas se mêler de se qui ne le regardait pas, André se contenta de se poser à l'autre extrêmité du banc, Whisky venant vite se coller à ses pieds, juste avant de sauter sur les genoux de son maître. Décidément, ce chien était bien obéissant. En effet, après quelques minutes de course, André avait pu lui enlever sa laisse, car le chiot courait à côté de lui, sans trop s'éloigner, ni porter trop d'attention aux environs. C'était sûrement dû au fait qu'il aie vécu plusieurs jours, voire quelques semaines, dans la rue. Le Portugais sortit une petite bouteille d'eau de sa sacoche, et en fit tomber quelques "gorgées" dans la gueule de Whisky. Puis il en bû lui aussi. Sauf que pendant ce temps, le chiot en profita pour aller vers la femme qui se trouvait à l'autre bout du banc. Il était en train de la renifler. André se déplaça un peu sur le banc, de manière à pouvoir attraper le chien, tout rigolant :

- Allez Whisky arrête ça. Puis, en regardant la dame, et étant un peu plus sérieux : - Je être désolé. J'aurais dû le garder en ... lai ... laisse ! J'espère qu'il vous pas salit !

En effet, l'Espagnol n'était pas sa langue de prédiléction. Et même si ces derniers temps, il commençait à le parler avec plus d'assurance, son niveau n'était pas encore le meilleur. Mais avec le temps, ça viendrait ... n'est ce pas ?

« Non, y'a aucun soucis! Il a l'air super adorable comme chien... »

« Excusez moi... Peut être que je me trompe mais vous ne venez pas d'ici? »

- Oe, 'c'est un vrai pt'it fou. Il s'appelle Whisky.

André fut très soulagé lorsque la fille sourit, et caressa Whisky. Au moins, elle n'était pas ... méchante ? Elle lui répondit alors qu'il n'y avait pas de soucis, et que le chien, en plus de ne pas l'avoir salit, avait l'air "super adorable", pour reprendre ses mots. Elle avait l'air très sympathique. En souriant, elle dit qu'André ne devait pas être de Barcelone, tout en s'excusant pour cette question. Au moins, elle était franche ! Et elle avait remarqué l'étrange accent espagnol qu'avait le jeune homme. Mais après trois jours, qui aurait pû réclamer une parfaite maîtrise de la langue ? Très peu de gens, sûrement. Et encore moins s'avéraient capable de maîtriser une langue étrangère en à peine trois jours, surtout sans formation, juste en apprenant tout seul, en parlant dans la rue. Donc, pour André, réussir à se faire comprendre, c'était déjà une grande victoire. Il relacha alors Whisky, qui se fit un plaisir d'aller se mettre sous la main de la jeune femme. André la fixa alors pendant une fraction de secondes, de manière à ce qu'elle ne remarque même pas, puisque son attention était reportée sur le chiot. Elle était belle, séduisante. Mais elle n'intéressait pas André, puisque depuis peu, son coeur pensait à une autre femme, rencontrée quelques jours auparavant. Au fait, cette femme, qui avait caressé Whisky, elle n'avait pas l'air d'être espagnole. Non pas à cause de son physique, mais elle aussi à cause de son accent. Même s'il n'était pas à Barcelone depuis très longtemps, il avait entendu beaucoup de gens parler la langue du pays, et en savait assez pour savoir qu'elle n'était pas native d'ici. Il répondit alors, avec un sourire :

- Vous avez raison. Je suis portugais, mais je venir de Suisse. Et vous ?

Ce fut le moment que choisit Whisky pour pousser un petit aboiement à l'encontre de la jeune femme. Il semblait l'apprécier, ou bien ne serait-ce que l'effet produit par ses caresses. De toute façon, le cri du chiot ne dû même pas être remarqué par les quelques passants, puisque personne ne regarda dans sa direction. Mais il fallait aussi dire que Whisky n'était encore qu'un "enfant", la taille allant avec. Il n'arrivait même pas aux genoux de son maître. Il devait faire environ la moitié de ses mollets. Donc, ses cordes vocales n'étaient pas encore suffisamment développées ni grandes pour produire un véritable aboiement. Mais au moins, ce qu'il faisait pour l'instant lui permettait de s'attirer l'attention d'une charmante dame. André dit alors, d'un ton sympathique et amical :

- Hé ben, il semble vous apprécier. Au fait, puis-je savoir à qui ai-je l'honneur ? Moi je m'appelle André. André Alexandre.

« Je m'apelle Canelle Lewis. Je viens de Los Angeles, donc je suis Américaine, enfin je suppose que vous le savez, je vais pas vous donner un cours de géographie! »

« Ca fait peu de temps que vous êtes ici je suppose? Je suis arrivée ici il y'a a peu près une semaine. »

- Oe, 'c'est un vrai pt'it fou. Il s'appelle Whisky.

André fut très soulagé lorsque la fille sourit, et caressa Whisky. Au moins, elle n'était pas ... méchante ? Elle lui répondit alors qu'il n'y avait pas de soucis, et que le chien, en plus de ne pas l'avoir salit, avait l'air "super adorable", pour reprendre ses mots. Elle avait l'air très sympathique. En souriant, elle dit qu'André ne devait pas être de Barcelone, tout en s'excusant pour cette question. Au moins, elle était franche ! Et elle avait remarqué l'étrange accent espagnol qu'avait le jeune homme. Mais après trois jours, qui aurait pû réclamer une parfaite maîtrise de la langue ? Très peu de gens, sûrement. Et encore moins s'avéraient capable de maîtriser une langue étrangère en à peine trois jours, surtout sans formation, juste en apprenant tout seul, en parlant dans la rue. Donc, pour André, réussir à se faire comprendre, c'était déjà une grande victoire. Il relacha alors Whisky, qui se fit un plaisir d'aller se mettre sous la main de la jeune femme. André la fixa alors pendant une fraction de secondes, de manière à ce qu'elle ne remarque même pas, puisque son attention était reportée sur le chiot. Elle était belle, séduisante. Mais elle n'intéressait pas André, puisque depuis peu, son coeur pensait à une autre femme, rencontrée quelques jours auparavant. Au fait, cette femme, qui avait caressé Whisky, elle n'avait pas l'air d'être espagnole. Non pas à cause de son physique, mais elle aussi à cause de son accent. Même s'il n'était pas à Barcelone depuis très longtemps, il avait entendu beaucoup de gens parler la langue du pays, et en savait assez pour savoir qu'elle n'était pas native d'ici. Il répondit alors, avec un sourire :

- Vous avez raison. Je suis portugais, mais je venir de Suisse. Et vous ?

Ce fut le moment que choisit Whisky pour pousser un petit aboiement à l'encontre de la jeune femme. Il semblait l'apprécier, ou bien ne serait-ce que l'effet produit par ses caresses. De toute façon, le cri du chiot ne dû même pas être remarqué par les quelques passants, puisque personne ne regarda dans sa direction. Mais il fallait aussi dire que Whisky n'était encore qu'un "enfant", la taille allant avec. Il n'arrivait même pas aux genoux de son maître. Il devait faire environ la moitié de ses mollets. Donc, ses cordes vocales n'étaient pas encore suffisamment développées ni grandes pour produire un véritable aboiement. Mais au moins, ce qu'il faisait pour l'instant lui permettait de s'attirer l'attention d'une charmante dame. André dit alors, d'un ton sympathique et amical :

- Hé ben, il semble vous apprécier. Au fait, puis-je savoir à qui ai-je l'honneur ? Moi je m'appelle André. André Alexandre.

« Merci... »

« J'aime beaucoup cette ville aussi. Les gens y sont très sympathique et puis il fait très bon, enfin je n'ai pas vraiment de quoi me plaindre puisqu'a Los Angeles il fait très bon aussi... »

« Oui, je travail à Tienda Agostina. C'est une petite boutique ou on trouve plein de truc, de toute sorte... »

« J'ai toujours adoré travailler comme vendeuse. »

« Tu as déjà rencontré beaucoup de monde depuis ton arrivée? »

H.S: La je suis fière de moi =D

Et moi, je vais tester une nouvelle manière d'écrire ^^

- Merci ...

Ce fut la réaction de la jeune femme se fit élogier son nom par André. Ouf ! Il avait espéré qu'elle ne le prenne pas mal, car d'après ce qu'il avait lu dans un livre de tourisme, avant de venir à Barcelone, dans certains pays, faire avoir des propos élogieux à la première rencontre pouvait être assez mal vu. Heureusement, cela ne semblait pas être le cas ici, en Espagne. Lorque la discussion porta sur les villes, Canelle parut assez intéressée. Peut-être était-elle une voyageuse ? Car à sa mine, elle semblait penser à autre chose. Si les déductions d'André étaient exactes, elle avait donc connu plusieurs villes, dans différents pays différents. Mais rien que le fait qu'elle se trouve à Barcelone, en pleine Catalogne, alors qu'elle venait d'une grande métropole américaine, ça montrait bien qu'elle aimait voyager ! Le voyage. Une chose qu'André avait aussi vécu. Une fois par année, il se rendait au Portugal en compagnie de sa famille. Mais dans une année, il n'y avait pas qu'une fois des vacances ! Et là, il profitait pour voir d'autres pays. L'Allemagne était charmante, la France séduisante, le Maroc mystérieux, et l'Egypte mystique. Voila donc les pays qu'André avait déjà visité, et ce qu'il en pensait. Et là, il se trouvait en Espagne. Quel adjectif lui donner ? Il était encore bien tôt pour arriver à une conclusion, mais torride pourrait bien être le mot qui définirait cet endroit, en tout cas, d'après André.

- J'aime beaucoup cette ville aussi. Les gens y sont très sympathiques et puis il fait très bon, enfin je n'ai pas vraiment de quoi me plaindre, puisqu'à Los Angeles, il fait très bon aussi ...

La sympathie ! Une chose élémentaire pour une ville si elle veut se qualifier d'accueillante ! En effet, qui voudrait habiter dans un endroit où à chaque personne à qui vous parlez, vous recevez une réponse grommelante et grognon en retour ?! Assurément bien peu de gens. Mais heureusement, ce n'était pas le cas de Barcelone. La sympathie semblait faire partie de tous les habitants, du moins, ceux qu'André avait déjà rencontré. Mais ça, c'était sûrement dû au sang latin. Car au Portugal, il en était de même. Les latins en général sont très accueillants, amicaux et sympathiques. C'était une qualité, pour sûr. Et au moins, ça permettait aux touristes de repartir heureux, de faire de la bonne publicité, et peut-être, qui sait, de revenir un jour ? Puis Canelle lacha un rire. Pas un fou rire, non. Un léger rire, contrôlé.

- Hé ben Whisky. Tu m'as permis de rencontrer une charmante dame !

Car oui, Canelle était charmante. André ne pensait aucunement cela d'un air intéressé, comme les garçons auxquels on attribue l'adjectif de "coureurs de jupons". Non, le Portugais n'était pas de ceux-là. Mais il se plaisait à décrire les gens qu'il connaissait au mieux, et sur ce point, il ne semblait pas s'être trompé, car assurément, Canelle avait du charme.

- Oui, je travaille à Tienda Agostina. C'est une petite boutique où on trouve plein de trucs, de toute sorte ...

Tienda Agostina ? André n'en avait jamais entendu parler. Mais avec le nombre de connaissances assez retreint qu'il possédait à Barcelone, il ne voyait pas vraiment qui aurait pu le lui dire. Et de toute façon, pour l'instant, il avait tout ce dont il avait besoin, alors pourquoi s'encombrer à aller faire les magasins ? Mais c'était une information importante, il s'en rappellerais. Surtout que d'après sa "divination", ça devait être un de ces établissements vendant un peu de tout. Il s'y rendrait sûrement un jour. En plus, ça lui permettrait de revoir Canelle, ce qui n'était pas non plus pour lui déplaire. Ainsi, son cercle d'amis à Barcelone s'agrandirait peut-être en y incluant l'Américaine ?

- J'ai toujours adoré travailler comme vendeuse.

Remarque pas très utile, certes. Mais au moins, André en savait ainsi plus sur la personnalité et les intérêts de Canelle. Mais il y avait bien quelques avantages à être vendeur. André le communiqua à la femme :

- Oe c'est cool d'être vendeur. Au moins, au est pas dehors, au chaud.

Ce n'était pas une remarque très constructive, il fallait bien qu'il l'avoue. Mais au moins, ça alimentait légèrement la conversation. De nouveau, la jeune femme rigola. Hé bien, au moins, elle n'était pas une personne triste. Les gens emplis de tristesse ne plaisaient pas à André, même s'il faisait de son mieux pour les rendre joyeux. Il les trouvait monotones, ennuyants ... tristes ? Puis la jeune femme porta un coup d'œil à sa montre. André se demandait si elle avait quelque chose à faire, et qu'elle devrait mettre fin à cette conversation. Finalement, elle n'en fit rien. En y pensant, André devrait bientôt ouvrir les portes de la superette. Bah, les vieilles dames voulant acheter à boire ou à manger pourraient bien attendre quelques minutes dehors, histoire de se raconter les dernières nouvelles non ?

- Tu as déjà rencontré beaucoup de monde depuis ton arrivée ?

Beaucoup de monde ? Ho que non. Mis à part les clients du magasin où il travaillait, il n'avait connu que deux autres jeunes femmes. Mais André misait plus sur la qualité que sur la quantité. De bons amis, c'était ça qui l'intéressait. Pas de ces gens qui disent vous apprécier, et qui à la première difficulté, disparaissent. André préférait ceux toujours prêts à aider, à dépanner. Et pour l'instant, les deux jeunes femmes semblaient être de ceux-là. Pourrait-il y ajouter Chanelle Lewis ? Peut-être bien que oui. Peut-être bien que non. Seul l'avenir leur dira. L'avenir ? André en avait justement parlé avec Alicia, la Brésilienne. Mais là, il dérivait. Il se mit donc en tête de répondre à la question de la femme. Il le fit d'un ton de voix amical :

- Beuh. Il y a bien les vieilles dames qui viennent chaque jour à la superette. Mais je pense que tu parles par de ça. Oui, j'ai rencontré deux femmes. Alicia Coelho et Léna Kavafisakis. Les connaissez-vous ?

Et ben ! Cette nouvelle manière d'écrire ... géant ! J'aime ^^

« Non je ne parlais pas de ca! »

« Je connais Léna. »

H.S: Très sympa =D J'adore les couleur.

[Vraiment désolé pour l'énorme retard ! J'm'excuse ...]

- Non je ne parlais pas de ça !

André s'en était fortement douté que Canelle ne voulait pas connaître les personnes âgées qu'il avait rencontré. Même si ces personnes étaient "dénuées" d'intérêt, il fallait les avouer bien sympathiques. Rien de tel pour mettre le jeune homme de bonne humeur. Car les sympathiques vieilles dames étaient toujours contentes, et ça, ça faisait sourire André. Mais revenons-en à Canelle. A présent, elle souriait. Elle sembla contente quand André dit connaître Léna. Le jeune homme l'avait rencontré alors qu'elle était venue faire quelques courses à la superette où travaillait André. Il avait voulu l'aider, car elle n'avait pas semblé savoir où se trouvaient les produits, et de là, une conversation s'était finalement engagée. Canelle dit alors, d'une voix "souriante" :

- Je connais Léna.

Ha ! Ainsi donc, elle voyait de qui parlait André ? Et bien, l'expression "Le monde est bien petit" pouvait tout à fait s'utiliser dans ce cas. Oui. Juste. Le jeune homme se demandait d'où Canelle connaissait Léna, mais pas pur soucis de ne pas se montrer curieux, il ne demanda rien. En fin de compte, il connaissait à peine les deux jeunes femmes ! Il ne fallait pas qu'il "s'incruste" dans leurs vies ni dans leurs passés commun ! Ca serait être très, mais alors très indiscret. Il ne fallait pas qu'André se taille une réputation d'homme à "tout vouloir savoir". Mais c'était intérerssant de savoir que les deux jeunes femmes se connaissaient. Ainsi, même dans une ville aussi grande qu'est Barcelone, un cercle de connaissances pouvait très vite se former. André connaissait Léna et Canelle, et les deux se connaissaient elles-même. Un début de cercle. Un cercle à trois. Un triangle ? Peut-être. Le sourire aux lèvres, André regarda Canelle. Il lui dit alors amicalement :

- En fait, je l'ai connue il y a quelques jours. Elle était venue à la superette où je travaille, et je l'ai aidée à trouver du jus de fruit. C'est une femme bien sympathique.

Venait maintenant une partie compliquée de la conversation. De nature, André était quelqu'un de très curieux. Il voulait sans cesse apprendre de nouvelles choses, et dans ce cas, en savoir un peu plus sur la relation qu'avait Canelle envers Léna. Mais si il demandait directement d'où elles se connaissaient, ça serait sûrement mal vu, et en plus, André en était plus ou moins incapable. Il n'aimait pas être indiscret. Whisky, qui jusque là était resté calme, sauta alors sur les genoux de son maître. Sursautant, André ne put empêcher un petit rire, tandis qu'il caressait le chien avec affection. Il dit alors de manière amicale :

- Ca ... ça fait longtemps que vous connaissez Léna ?

« Oui, ca fait très longtemps que je la connais, mais je voudrais pas t'ennuyer avec ces histoire là... En général ca n'interesse personne les histoire de rencontre! »

[Aucune inspiration, désolé ...]

La jeune femme sourit quand André demanda si cela faisait longtemps qu'elle connaissait Léna Kavafisakis. Cela ne faisait que quelques minutes qu'ils se connaissaient, et déjà, ils avaient engagé une belle discussion. Décidément, ces premiers jours en Espagne n'étaient pas du tout monotones !

- Oui, ça fait très longtemps que je la connais, mais je voudrais psa t'ennuyer avec ces histoires là ... en général, ça n'intéresse personne les histoires de rencontre !

C'était vrai que normalement, les histoires de rencontres n'étaient pas des plus passionnantes. D'habitude, une maladresse d'une des personnes, ou quelque chose dans le genre, finissait souvent en petite discussion autour d'un verre frais, sur une terrasse. En tout cas, pour André et Alicia, ça c'était passé comme ça. Peut-être en serait-il de même pour Canelle Lewis. Cette fois, le "déclencheur", ça vait été le petit Whisky. D'ailleurs, il trouvait en ce moment fort amusant de se gratter le dos contre les bords du banc. Il avait vraiment l'air ridicule dans cette position inhabituelle. Du moins, pour un chien de son âge. La jeune femme se mit alors à rire. A défaut d'être ennuyante, elle était pour le moins étrange ! Mais pas au point d'inquiéter le Portugais. Non. Il savait parfaitement ce que c'était d'avoir envie de rigoler d'un instant à l'autre. Un vague souvenir, une phrase, tout pouvait déclencher cette envie. Il n'en voulait pas à la belle femme. Au moins, ça évitait les conversations monotones et "chiantes" que pouvaient tenir deux personnes sans personnalité. Whisky remonta alors sur le banc, après avoir terminé son grattage de dos. Il donna un petit coup de langue sur la main de son maître, alors que ce dernier s'apprétait à répondre à la jeune femme. Le chiot aimait bien jouer les troubles-fêtes. Rapidement, il sauta sur les genoux de Canelle. Avec son poids, l'animal ne risquait pas du tout de faire mal à la jeune femme. En rigolant, André dit alors :

- Hé bien lui, on dirait qu'il aime les femmes ! Il m'attire toujours des ennuis. Au fait, vous travaillez dans le coin ? Moi, j'ai trouvé du boulot à la superette de Santa Caterina de Siena.

qAndré avait sauté sur l'occasion pour continuer la conversation. L'intervention de Whisky avait permit au jeune homme d'éviter la remarque compliquée de Canelle, tout en lui permettant de donner une ambiance amicale à la scène. Il avait ensuite enchaîné sur le thème du travail. Ce n'était pas un sujet très passionnant, mais au moins, il avait le mérite de renseigner un peu les deux personnes sur l'autre. Et en plus, ça pouvait toujours donner un lieu de rencontre !